Éducation, Linguistique, Société

Menu principal

  • Éducation, Linguistique, société...
  • Blog (coups de cœur, coups de gueule...)
  • À propos d'Éducation
  • Affaire Dominici : du côté de Lurs
  • Un peu de langue française
  • Faits de société
  • De tout un peu
  • 101 personnages (Graisivaudan)
  • Archives
  • À propos
  • Pour me contacter

Articles les plus lus

  • Camus : Discours de Suède, du 10 décembre 1957 (extrait)
  • Comprenne qui voudra
  • Sodome et Gomorrhe (1)
  • Vercors : Le silence de la mer
  • Jules Ferry : Circulaire du 17 novembre 1883
  • Les Faux-Monnayeurs
  • Fanatisme : commentaire d'un article du Dictionnaire philosophique de Voltaire

Dernières mises en ligne

  • L'enrichissement du vocabulaire : III Esquisse d'une pédagogie (1)
  • Le personnage de roman - Dis-moi ce que tu regardes...
  • Reveil-Accueil
  • Lettre_6-2
  • Du côté du quai de Ouistreham...
  • Note sur la Nécessité d'un enseignement philosophique élémentaire
  1. Vous êtes ici :  
  2. Accueil
  3. Faits de société
  4. Philéo

Nous l'avons tant aimé (philéo)...

C'était fin 1965. À la télé (il n'y avait alors que deux chaînes, et la seconde n'avait qu'une année d'existence !) la première campagne présidentielle battait son plein. Le jeune candidat de la gauche ("Un Président jeune, pour une France moderne"), qui n'était pas encore permanent, fit sensation lors de son premier discours, en stigmatisant le régime autoritaire du général vieillissant (Le coup d'État permanent) et en martelant à plusieurs reprises, à propos des affaires de l'État : cela vous concerne, et cela vous regarde. Fort bien. C'est ce qui nous donne aujourd'hui un droit certain à l'inventaire, comme dirait cet autre de Sainte Gabelle. Car, de plus, nous ne sommes jamais allé à la soupe. Point à la ligne.
Le même disait encore avec superbe, le 16 mars 1978, "l'argent, partout l'argent ! Eh bien moi, je préfère tendre la main aux travailleurs plutôt qu'aux maîtres de l'argent. Voilà la vérité". Hum. On sait ce qu'il en est advenu : l'ami de Roger-Patrice Pelat et de René Bousquet a tendu beaucoup de mains... Alors, il est sans doute salutaire de verser un peu d'anti-mythes. Ce qui ne m'empêche pas de lire avec quelque sympathie des ouvrages modérément hagiographiques, comme celui, chaleureux - Mitterrand, Jospin et nous - que Jean Glavany a fait paraître chez Grasset, en 1998.

 

Articles
Titre Date de publication Auteur Clics
Un peu de décence ! 18 février 2000 Écrit par : J.-F. Revel Clics : 7656
Mitterrand, "brillant septuagénaire"... 19 février 2000 Écrit par : J.-F. Revel Clics : 7475
Attristante République des mensonges 19 mai 2000 Écrit par : SH Clics : 7142
Les cocus du mitterrandisme 18 février 2001 Écrit par : SH Clics : 6602
L'abolitionniste Mitterrand 19 février 2001 Écrit par : R. Béteille Clics : 13808
Mitterrand, un homme de gauche ? 19 février 2001 Écrit par : SH Clics : 6356
Dans les jardins de l'Observatoire... 5 août 2001 Écrit par : SH Clics : 9158
L'antimilitariste du Bourget 9 avril 2002 Écrit par : SH Clics : 7630
Héritage mitterrandien 16 juillet 2002 Écrit par : I. Hamel Clics : 8319

Page 1 sur 9

  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9

"Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire ; c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques".

Jean Jaurès (au Lycée d'Albi, le 30 juillet 1903)