Il se trouve que le texte-leçon de vocabulaire ("Nîmes dans la boue") faisant l'objet de cette présente mise en ligne est le seul à ne pas avoir été extrait, au fil des années, de la modeste brochure consacrée, dans la collection "Méthodes et documents pour...", à l'enrichissement du vocabulaire (il y occupait le 9e rang sur treize propositions). Je saisis donc la toute récente occasion de la furie engendrée par les intempéries, vague qui a déferlé sur notre pays (ou épisodes météorologiques, dits "cévenols", selon les sachants) pour parachever le travail [et pour ne rien dire des inondations effroyablement meurtrières qui ont ravagé en Espagne, en cette fin d'octobre, la région de Valence - copie hélas conforme, mais en la surpassant, de celles de 1957].
Certes, la région nîmoise n'a fort heureusement pas, cette année, été directement impactée (pour reprendre un mot à la mode) par ces tornades déchaînées. L'acmé — qui a pris place les 16 et 17 octobre dernier — a surtout concerné la région Auvergne-Rhône-Alpes ; en tout cependant, 33 départements ont été placés en vigilance orange, et six en vigilance rouge.
Il est pas surprenant que certains éléments factuels du texte servant de point de départ aient (mal) vieilli, le personnel politique ayant connu un évident rajeunissement... Plus de Mitterrand, fort heureusement, ni de Joxe, fils de son père. Et l'A 9 a cédé la peu enviable place à l'A 47 devenue un temps impraticable. Cependant, le vocabulaire propre à la description des intempéries n'a, c'est la force des choses, guère varié (qu'on songe aussi, pour s'en convaincre, à la leçon Inondations à Patras). Il y aura donc, c'est du moins mon souhait, du grain à moudre pour les enseignants des dernières classes de l'Élémentaire.
Mais je ne veux pas clore cette introduction sans m'intéresser à la personne aujourd'hui ministre de la Transition écologique, de l'Énergie, du Climat et de la Prévention des risques (ouf !), qui a profité de l'occasion pour gloser et se montrer, ici ou là, par exemple auprès des sinistrés d'Annonay (je ne sais pourquoi, j'ai irrésistiblement songé à l'image du jeune Chaban-Delmas, ministre, lui, des Travaux publics, des Transports et du Tourisme dans le gouvernement Mendès-France, montrant, à l'occasion d'une épouvantable catastrophe ferroviaire survenue en juillet 1954 en Ardèche, ses éclatantes capacités de grand sportif). "Du jamais-vu de mémoire d'homme !" s'est écriée la jeune Agnès Pannier-Runacher. Ah bon ? Qu'elle prenne donc connaissance du présent texte sur Nîmes, par exemple. La mémoire humaine doit être particulièrement courte, pour que cette jeune femme vienne prétendre qu'elle se trouvait devant des évènements inédits : les inondations de 1992 dans le secteur de Vaison-la-Romaine auraient pu, entre bien d'autres sinistres, ne pas lui être totalement étrangers.
Je risque en tout cas, ici, une incidente, au moins pour montrer qu'en de pareilles circonstances fort heureusement, comme en octobre dernier, la générosité de braves gens est incommensurable :
"M. Lachèvre [Sénateur, Groupe des Républicains et Indépendants] : Le département de Seine-et-Oise que j'ai l'honneur de représenter a été particulièrement touché par les inondations puisque dans ce département, la Seine, la Marne et l'Oise, qui ont largement débordé de leur lit, couvrent encore des milliers d'hectares tandis que des centaines de maisons restent isolées.
C'est la raison pour laquelle je veux m'associer aux hommages qui ont été rendus au corps admirable des ponts et chaussées, aux ingénieurs des travaux publics, aux ingénieurs de la navigation et à leurs collaborateurs à tous les échelons. Je veux rendre hommage, aussi, au dévouement sans limite des nombreux maires qui ont été constamment sur la brèche [...]" (Sénat, séance du 25 janvier 1955).
Et j'en reviens à notre jeune ministre, que j'ai eu l'occasion d'apprécier à sa juste mesure lors d'un très récent (20 octobre) "Le Grand Jury" sur RTL, tandis qu'elle s'apitoyait sur le réchauffement climatique (curieusement, ses visites que nous avions pu suivre à la télé, ne montraient guère que la déforestation, les constructions au bord même des cours d'eau, l'imperméabilisation des sols — en bon français, le bétonnage à outrance - devaient quoi que ce soit au dit réchauffement...). Et soudain, il m'est revenu en mémoire (la mienne aussi, connaît quelques défaillances — c'est le privilège de l'âge) un récent incident déjà oublié : la même Agnès Pannier-Runacher, alors ministre démissionnaire, lors du premier tour de l'élection du président de l'Assemblée nationale, le 18 juillet dernier, a refusé de serrer la main du benjamin de l'Assemblée, chargé en raison même de son âge de veiller au bon déroulement du scrutin. Je me perds en conjectures : était-ce parce que son propre parti (macroniste) venait d'être laminé, tandis que le jeune Flavien, qu'elle a grossièrement ignoré, appartenait, lui, à la formation ayant recueilli le plus de suffrages dès le premier tour ? Toutes les hypothèses, comme dit l'autre, sont sur la table... Et donc, lors du dit "Grand Jury", la ministre a prouvé qu'elle avait d'un bout à l'autre réponse à tout, et raison sur tout. C'est cela qu'on leur apprend à l'Ena, avec la morgue accompagnatrice... Bref, la Com' à tous les étages. Un jour ancien, je fus invité ès qualités à l'Académie française (Dieu, qu'on y est mal assis !). Et j'y entendis cette phrase, que je tiens pour définitive, prononcée il me semble par le regretté Henri Amouroux : "la communication, c'est la corruption". Point à la ligne. Quant à l'action courageuse et sans caméras, c'est une autre paire de manches.
Le grand Péguy avait usé d'un mot cruel, face à l'incroyable, la merveilleuse faconde de Jean Jaurès : "quand on peut tout expliquer", avait-il écrit, "on peut tout trahir". C'était très méchant pour Jaurès et sans doute foncièrement injuste. Mais pour d'autres ? Car last but not least (oh que j'aime cette formule anglaise), et à propos de corruption, j'ai publié, il y a peu de temps, un court extrait d'un ouvrage ravageur consacré aux "voraces" de la politique, dont l'auteur prétend qu'ils ont proliféré à outrance et sans aucune vergogne sous le macronisme. Allez donc voir si, par hasard, l'actuelle ministre de la Transition écologique, etc. etc. n'y figurerait pas. Elle est sortie de l'Ena, elle est donc, ça ne fait pas un pli, une haute fonctionnaire. Mais à l'attitude bien basse. On devrait la sortir...

 

 


 

 

"Maintenant l'eau atteignait les tuiles ; le toit n'était plus qu'une île étroite émergeant de la nappe immense. Alors commença l'assaut. Jusque là, le courant avait suivi la rue ; mais les décombres qui la barraient le détournèrent sur nous. Dès qu'une épave, une poutre, passait à proximité, il la prenait, la balançait, puis la précipitait contre la maison, comme un bélier. Bientôt, dix, douze poutres nous attaquèrent ainsi à la fois, de tous les côtés. Par moment, à certains chocs plus durs, nous pensions que c'était fini, que les murailles s'ouvraient et nous livraient à la rivière".

É. Zola

 

 

Les orages qui se sont abattus lundi 3 octobre sur la ville de Nîmes et ses environs immédiats ont pris la dimension d'un désastre avec un bilan en vies humaines qui se chiffrait déjà, dans la matinée du 4 octobre, à au moins huit morts selon les autorités. Inondée en quelques instants par des torrents d’eau et de boue venus des collines environnantes, la ville même a particulièrement souffert et les victimes sont pour la plupart des conducteurs ou passagers d'automobiles surpris dans leurs véhicules. Durant plusieurs heures, les lignes téléphoniques ont été interrompues et l'autoroute A9 fut rendue impraticable à la circulation.

 

Après M. Pierre Joxe, ministre de l'intérieur, qui s'est rendu sur place dès lundi, M. François Mitterrand devait venir à Nîmes mardi dans l'après-midi.

Ce phénomène inattendu s'est caractérisé par une localisation très limitée de la zone d'orages et surtout par le fait que celle-ci, qui allait répandre 228 litres d'eau au mètre carré, est restée invariable durant plusieurs heures.

 

© Le Monde, mercredi 5 octobre 1988

 

 

SUGGESTIONS POUR UNE EXPLOITATION

 

 

I. Restitution au texte de ses termes d'origine

 

[voiture exceptionnel catastrophe déverser submerger extrêmement descendre arriver stationnaire regarder couper]

Consigne : à l’aide des mots ci-dessus, rétablir le texte initial de l’article.
(les modifications sont en caractères italiques dans le texte ci-dessous. Il y a un intrus dans la liste, c'est regarder), puis discussion éventuelle sur le phénomène de la para-synonymie ; quelques exemples :

- submerger et inonder, est-ce exactement le même concept ?

- exceptionnel et inattendu, etc. . .

 

Texte de l’article :

 

Les orages qui se sont abattus lundi 3 octobre sur la ville de Nîmes et ses environs immédiats ont pris la dimension d'une catastrophe avec un bilan en vies humaines qui se chiffrait déjà, dans la matinée du 4 octobre, à au moins huit morts selon les autorités. Submergée en quelques instants par des torrents d’eau et de boue descendus des collines environnantes, la ville même a particulièrement souffert et les victimes sont pour la plupart des conducteurs ou passagers d'automobiles surpris dans leurs voitures. Durant plusieurs heures, les lignes téléphoniques ont été coupées et l'autoroute A9 fut rendue impraticable à la circulation.

Après M. Pierre Joxe, ministre de l'intérieur, qui s'est rendu sur place dès lundi, M. François Mitterrand devait arriver à Nîmes mardi dans l'après-midi.

Ce phénomène exceptionnel s'est caractérisé par une localisation extrêmement limitée de la zone d'orages et surtout par le fait que celle-ci, qui allait déverser 228 litres d'eau au mètre carré, est restée stationnaire durant plusieurs heures.

 

II. Construction d'une grille sémique

sur désastre et catastrophe[1] à partir des 'sèmes' qu'on y trouve[2].

Faire créer des phrases, pour ancrer la (les) différence(s).

 

III. Exploration d'un champ sémantique : rendre

218e mot du FF1 (à partir de "elle fut rendue impraticable", et "il s'est rendu sur place") : impossible, ici, de travailler sans dictionnaire (après, bien entendu, oralisation au sein de la classe, pour dégrossir le sujet) ! Travail, donc, sur les sens et les constructions.

 

IV. Sens propre et figuré : submerger.

- recouvrir complètement (sujet : les eaux) ≃ inonder, noyer (objet direct : des terres).

- déborder (surtout à la voix passive) : le service d’ordre du concert de rock a été débordé ; je suis submergé de travail ; "vous allez être submergés par la défaite" (Ch. de Gaulle)

Construction d’une grille étymologique (avec submerger, immerger, émerger) : les préfixes sub-, im- et é- ; les deux lexèmes merg et mers ; les suffixes -ence, -ent, -ible, -ion.

 

V. Plusieurs : approche des différents adj/pron. d'indétermination.

quelques, maints, tous, à faire employer dans des phrases.

 

 

VI. Prolongements :

 

6. 1. Lecture documentaire :


à titre d’initiation à la 'littérature', on pourrait faire établir une comparaison avec un texte de Zola, narrant des inondations dans la région toulousaine[3].

 

 

6. 2. Mots du texte appartenant à l’échelle Dubois-Buyse


(pour conduire d’autres études éventuelles) :

 

 

boue

orage

abattre

lundi

octobre

sur

ville

environ

prendre

désastre

avec

vie

humain

déjà

dans

matinée

huit

mort

selon

autorité

quelque

instant

par

venir

colline

même

particulièrement

souffrir

victime

pour

surprendre

véhicule

durant

plusieurs

heure

ligne

été

rendre

circulation

après

pierre

ministre

place

dès

mardi

très

surtout

fait

que

celle-ci

mètre

carré

 

 

6. 3. Enfin, le texte suivant pourra être exploité dans les trois années du cycle :

 

[Le 14 juin 1827, à partir de 17 heures, un gros orage s’abattit sur les communes des Adrets, Theys, Hurtières, Tencin, Le Cheylas, Morêtel et Goncelin[4], entraînant de grosses inondations. À Goncelin même, un glissement de terrain de 4 kilomètres de montagne transforma cette inondation en véritable catastrophe (27 morts, et de considérables dégâts matériels)].

 

Goncelin, le vendredi 15 juin 1827 à 9 heures du matin

 

Monsieur le Préfet,

Le plus affreux désastre est venu fondre dans la soirée d’hier sur ma malheureuse commune ; les eaux du faible ruisseau qui la traverse dans toute sa longueur se sont enflées à la suite d’une pluie d’orage, d’une manière que l’imagination ne saurait concevoir et avec une telle rapidité que les habitants n’ont pas eu le temps de se mettre à l’abri de leur irruption ; un grand nombre de maisons ont été emportées, douze cadavres ont déjà été découverts et malheureusement, nous en découvrirons bien d’autres encore ; au milieu de ce désordre nous sommes parvenus à sauver par miracle neuf individus, du nombre desquels sont M. Sabattier, percepteur, sa femme et ses deux enfants. Le plus épouvantable encombrement succède à tous ces désastres, les décombres s’élèvent sur certains points à la hauteur des toits, la route départementale est interceptée, le désespoir est dans tous les cœurs.

Je suis dans l’eau depuis hier cinq heures du soir et je remets à un autre moment les détails de ce déplorable événement. Je compte, Monsieur le Préfet, sur tous les secours dont vous pourrez disposer.

J’ai l’honneur d’être, Monsieur le Préfet,

Votre très humble et très dévoué serviteur.

Gauthier

 

I. Activités en direction du CE2

 

1.1. Mots du texte appartenant à l’échelle Dubois-Buyse (échelons 1 à 15).

 

autre

avec

bien

cadavre

cinq

cœur

commune

dans

depuis

deux

douze

eau

encore

enfant

femme

fondre

grand

heure

hier

juin

maison

matin

miracle

moment

nombre

parvenir

pluie

plus

point

pouvoir

route

savoir

serviteur

soir

suite

sur

toit

tous

traverser

vendredi

venir

     

 

1.2. Un Sa, plusieurs  : le mot commune

 

On travaillera avec les élèves sur les deux sens du mot commune, selon la classe grammaticale d’appartenance (substantif et qualifiant).

 

1.3. Sens propre et sens figuré : le verbe fondre

 

Cette étude pourra être conduite avec les trois années. Il suffira de moduler les exigences en fonction des capacités des enfants.

- Fusion sous l’action de la chaleur : le métal fond (la fonderie) ; le beurre fond dans la poêle ; ce bonbon fond dans la bouche, pas dans la main (il est fondant).

- Fusion sous l’action de l’eau : le sucre fond dans la tasse de café

- Idée de mélange : fondre des couleurs (le fondu-enchaîné, au cinéma).

- Passage au sens figuré : l’argent lui fond dans les mains ; prise en flagrant délit de vol de confiture, la petite fille fondit en larmes ; après un sévère régime alimentaire, cette dame a fondu de dix kilos.

- Autre  : l’aigle a fondu sur le petit agneau.

 

On pourra également étudier ce passage, en examinant deux phrases du texte :

- le désespoir est dans les cœurs

- je suis dans l’eau

 

1.4. Les bases de venir

 

On se reportera, à cet égard, à l’exercice 3.2.1. de la leçon "Histoire cocasse".

 

II. Activités en direction du CM1

 

2.1. Mots du texte appartenant à l’échelle Dubois-Buyse (échelons 16 à 19).

 

découvrir

désordre

détail

disposer

dont

faible

hauteur

malheureux

mettre

milieu

neuf

par

pas

rapidité

remettre

ruisseau

sauver

soirée

temps

 

 

2.2. Travail sur le verbe découvrir

 

On pourra, ici, utiliser les suggestions de l’exercice 4.4., proposé lors de l'activité "Le jeune Arthur Rubinstein".

 

2.3. Travail sur les verbes mettre et remettre

 

Se reporter à l’exercice III de l’activité "Julos Beaucarne".

 

III. Activités en direction du CM2 (éventuellement, de la classe de 6e)

 

3.1. Mots du texte appartenant à l’échelle Dubois-Buyse (échelons 20 à 27)

 

affreux

certain

déjà

désastre

désespoir

emporter

épouvantable

habitant

humble

leur

longueur

maire

malheureusement

manière

monsieur

succéder

très

     

 

3.2. Les paronymes : irruption/éruption...

 

3.3. Essais de grilles sémiques :

- encombrement/désordre

- affreux/malheureux/épouvantable/déplorable

 

Notes

 

[1]. On peut ajouter d'autres termes voisins : calamité, cataclysme, désolation, épreuve, fatalité, malheur, sinistre, tragédie...
Des exemples de grilles sémiques peuvent être trouvés dans la leçon "Inondations à Patras"
Rappel :"les sèmes (ou "traits pertinents", ou "unités minimales de signification d'un mot") ne sont qu'une appellation moderne de deux notions très classiques en matière de définition, à savoir le genre prochain et la différence spécifique ; exemple : un tabouret, c'est un siège (genre prochain), sans dossier, ni appuie-bras (différences spécifiques) ; pour le même mot, le linguiste contemporain distingue trois sèmes (ou davantage) : siège, sans dossier, sans appuie-bras ; la "grille sémique" récapitule dans un tableau les divers sèmes d'un mot et, plus généralement, de deux ou trois para-synonymes ; c'est un procédé commode de visualisation des nuances de sens entre ceux-là" (B. Toresse).

[2]. Les sèmes sont donc des unités minimales de signification. Catastrophe/Désastre - Sèmes communs : événement imprévu, qui cause de graves dégâts matériels ;  sème spécifique à catastrophe : la notion de pertes en vies humaines (d’après R. Galisson, L'apprentissage systématique du vocabulaire, Hachette-Larousse, 1970, tome I, p. 34).

[3]. Rien de nouveau sous le soleil ! Le texte suggéré est extrait de Le capitaine Burle (Contes et Nouvelles, L’inondation, & II à VI, pp. 717-738 de l’édition Pléiade). Un résumé commode à utiliser en classe peut être trouvé dans le vieux Besseige et Lyonnet (présent dans tous les greniers d’école !), Lecture et langue française, CM, Librairie Istra, p. 164. Ou sur le même site, texte "Un désastre".

[4]. Communes situées sur la rive gauche de l’Isère, entre Chambéry et Grenoble.

 

 

(© Extrait de SH,  L'enrichissement du vocabulaire, CRDP de Grenoble, 1997, pp. 203-210)

 


 

 

 

 

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