Arts et Spectacles

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samedi, 9 septembre 2023

Allez, les Petits !

Il fallait avoir le cœur bien accroché, hier au soir, devant ses étranges lucarnes ! Car nos Bleus (qui d'ailleurs étaient blancs, non de trouille, mais de maillot) nous ont flanqué une sacrée venette en première mi-temps, et sans doute d'ailleurs se sont-ils fait peur à eux-mêmes. Il fallait voir à quel point ils se sont dès l'abord et pour bien trop longtemps fait enrhumer par une équipe All-Blacks qui n'était pourtant pas dans ses grands jours - quand bien même on s'est aperçu qu'elle conservait de fort beaux restes, et l'habitude de foudroyants contres.

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lundi, 20 mars 2023

10-53. Mais oui, j'y étais !

Quel dommage que tu sois à Londres à un moment pareil, alors qu'il m'a été impossible de t'obtenir des places pour ton anniversaire, m'avait téléphoné ma fille (qui est toujours en avance). Un moment pareil, ce qui signifiait au beau milieu du Crunch si attendu par les Anglais, si redouté par les Français ! En fait, lui avais-je répondu, je me consolerai en regardant le match depuis un quelconque pub !

Parce que l'essentiel de cette escapade, pour moi, outre le fait de côtoyer de près d'adorables petits-enfants, c'était de se rendre, cornaqué par un ami très cher, anglais mais tellement francophile, au  4, Carlton Gardens, qui fut durant quatre années, grâce à Churchill, le Quartier général de la France libre, puis de contempler enfin, au British Museum, la pierre de Rosette (dont je ne connaissais jusque-là que la pâle copie obtenue par estampage, celle-là même qui permit à Champollion de battre à plates coutures son rival anglais, Thomas Young), et même les frises du Parthénon (au passage, je note qu’il n’y a pas – plus ? – la moindre allusion au célèbre Thomas Bruce dit Lord Elgin, grâce à qui elles furent sauvées d'une imminente destruction : preuve que l'idéologie woke a plus le droit de cité dans la perfide Albion que chez nous, ce qui n'est pas peu dire). Mais revenons à nos moutons, ou plus exactement  à leurs perruques blanches...

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mercredi, 1 mars 2023

De Charybde en Scylla ?

J'entends bien que c'est la journée mondiale de la gentillesse et du compliment, mais je ne sais comment tourner le mien... Car j'ai appris hier au soir, au travers des étranges lucarnes, que la dénommée Christine Angot venait d'être élue membre de l'Académie Goncourt. Élue à la place de Patrick Rambaud, prix Goncourt ET Grand prix du roman de l'Académie française en 1997 pour La Bataille, et démissionnaire pour raisons de santé. Comment m'exprimer à ce sujet ? J'ai accueilli cette nouvelle, qui va plonger le cirque médiatique dans ses transes habituelles, entre la stupeur et l'éclat de rire.

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jeudi, 15 décembre 2022

La leçon de foutebaulle

Cela faisait pas mal de temps que mon blog, non seulement n'était plus alimenté, mais également n'était plus accessible, à cause de je ne sais quel bug (si, je sais, mais ce serait tellement long - et oiseux - à décrire/expliquer. L'informagique, c'est en vérité si fragile, malgré  qu'on en ait...).
Réparations pénibles après pénibles réparations, ce fichu blog semble à nouveau accessible - mais je voudrais me trouver, et ce n'est pas le cas, à proximité d'un morceau de bois pour conjurer le mauvais sort.

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mercredi, 30 janvier 2019

D'un facteur prénommé Ferdinand

Ainsi donc Nils Tavernier, après De toutes nos forces, nous donne à voir "L'Incroyable Histoire du facteur Cheval". Nils est le fils de l'immense Bertrand Tavernier (dont, si on ne doit retenir qu'un film, ce sera "La vie et rien d'autre" ; et si on peut en choisir un second, alors on ira vers "Dans la brume électrique") : bon sang ne saurait mentir, et c'est le cas.

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