Aujourd'hui je pleure sans arrêt. Quand Sania fait quelque chose, c'est toujours moi qui prends tout. Je crois que ma mère a peur d'elle. Elle l'aime plus que moi, et ça se voit. Elle lui donne tout le temps de l'argent, et quand je lui en demande, elle me répond : "j'en ai pas". Quand ma mère ne parle pas à Sania, elle m'envoie toujours lui demander ceci et cela, et ça me stresse.

 

 

Alors, pour oublier cette famille, je rêve à l'homme de ma vie. Je nous vois à la plage, sur le sable ; ou au bal, moi avec une jolie robe, ou encore à notre mariage

 

La partie préférée de ton corps

C'est tes mains ; elles sont douces,

Câlines, tendres, enfin toute la

Tendresse que peuvent avoir des mains.

Quand je te vois, je suis émerveillée

Tout l'amour qui est en moi sort.

Cet amour ne sort pas souvent

Parce que je te vois très rarement.

Je ne comprends pas - c'est con -

Si une voix me pousse ou me force

À te dire ces paroles

Aux moments rares où je te vois.

Tu me dis que tu m'aimes et que tu m'aimeras

Au plus profond de toi-même

Tu veux que je te dise que je t'aime.

Tu veux l'entendre : "Je t'aime, je t'aime, je t'aime"

Voilà, je l'ai dit : "Je t'aime".

Je te le dis avec toute mon honnêteté

Et ma sincérité.

Au fond de nous, cet amour

Même si on est mariés avec Untel

Ou que chacun de nous soit au bout du monde

Cet amour, notre amour est soudé dans nos cœurs

Et ça, on le sait bien

 

 

Je t'aime !

 

 

P.S. : si j'en avais le courage, je le dirais haut et fort, que je t'aime, mais je le dis à toi seulement, et ça suffit

 

Sabrina